Grande Candelle : Arête de Marseille

Après l'aventure de la veilles aux croulants, on cherche une voie plus facile. On décide de faire la célébrissime arête de Marseille immortalisée par Gaston Rébuffat himself.

L'Oule : les futurs croulants

"La plus belle voie des calanques, s'il ne devait en rester qu'une....", notre topo est élogieux, la choix de la voie est donc facile ! En plus, les difficultés ne dépassent pas le 6a+ , c'est donc le coeur léger qu'on part.

Seul problème : ce vieux topo est obsolète, les accès sont mal décrits et il n'y aucune photo pour savoir à quoi on s'attaque...

Saou : Nomades Land

On est en forme avec Aurélie, alors on tente une voie à notre limite max : Nomades Land à l'Aiguille de la Tour, 6b+ max, 6a obligatoire.

Naranjo de Bulnes : Voie Normale

Difficile de trouver un créneau de beau dans ce pays de fou que sont les asturies... Neanmoins, il y a 2 jours corrects qui s'annoncent, on décide de tenter l'ascension du Naranjo.

Fissure d'Ailefroide

Première visite pour nous à Ailefroide et on se lance dans la voie emblématique du secteur, la fissure, ligne évidente, peu équipée est une voie à l'ancienne qui semble faite pour nous.

"Los buitres" aux Picos

Après avoir fait une première voie avec Papy sur la paroi de Fresnidiellu, on y revient. Parce que c'est la seule paroi pas trop loin, et que vu le temps incertain impossible de partir plusieurs jours.

Pilier Leprince-Ringuet au Glandasse

Avec la Pelle, la paroi du Diois la plus importante est celle du Glandasse. La voie classique qui parcourt cette face est celle ouverte par Leprince-Ringuet sur un beau pilier.

Pointe des cineastes : Traversée

Après un repas d'anthologie à l'hôtel d'Ailefroide, on plante la tente dans la boue au Pré de mme Carle avec Remy et Céline.

Mont Aiguille avec Papy

Après avoir buté pour cause de tempête de neige il y a un mois, on revient attaquer le Mont Aiguille avec Papy.

Pose devant l'objectif

 On a jamais fait la voie normale ; avec Aurélie nous avons déjà gravi le sommet, mais par le pilier Sud.

La voie normale, c'est un peu d'escalade, de marche et de via ferrata, le tout assez agréable.

Papy sort au sommet

Pose avant la descente

 En fait, la vraie aventure du Mont Aiguille, c'est la descente ! Mais comme on l'a déjà faite avec Aurélie, tout se passe bien.

Dans la descente

Voie centrale à l'Epenet

Avec Romain et Benoit, on attaque cette voie au centre de la paroi de l'Epenet. On avait buté avec Aurélie après une traversée un peu délicate...

Grand Veymont par le pas de Chabrinel

Après y être passé en été, je m'étais dit que le Pas de Chabrinel était bien skiable. L'idée c'est quand passant par là faire le Grand Veymont à ski semble raisonnable pour un valentinois : pas besoin de passer par Grenoble pour garre la voiture à Gresse en Vercors... Certes, beaucoup de plat sur le plateau après le Pas avant d'attaquer le sommet, mais ces hauts plateaux du Vercors sont tellement beaux...

Et puis skier le Grand Veymont, c'est quand même quelque chose à faire : la montagne a de la gueule, c'est le point culminant du massif, et on se demande bien par où ca passe. Bref ca plat n'est pas vraiment un problème.

Je pars tôt, cette année est peu enneigée et il y a pas mal de portage.

Pas de Chabrinel

J'attaque le sommet par l'arête Sud, peu enneigée mais suffisamment pour monter sans déchausser. Peu avant le sommet, des bouquetins m'accueillent, toujours aussi placides.

Les bouquetins m'accueillent

 Se pose alors le problème de la descente... je comptais passer par la face Ouest, mais elle est encore gelée, je suis arrivé trop tôt... Du coup, je trouve un petit couloir versant Est qui me permet de rebasculer vers l'aiguillette. La neige est excellente, et quelques virages plus tard c'est le retour sur le plat, ambiance ski de fond !

Le superbe Grand Veymont